Madame le Docteur Irène Pierre n'est plus

Elle est partie le 14 mars 2021

Madame le Docteur Irène PIERRE, née SZEWCZYK fondatrice de l’ALAGH, nous a quittés dimanche 14 mars.

Femme de conviction

Femme de caractère

Femme déterminée

Femme émancipée

Femme engagée

Mère de famille

Femme exceptionnelle

Elle nous a continuellement conduits, accompagnés, soutenus et a développé l’esprit d’aide, de conviction à l’égard des personnes en situation de handicap.

Veillant toujours à ce que la dignité de la personne soit au cœur de nos actes professionnels. Sans compassion, ni complaisance, avec ténacité.

Qualités qu’elle s’est appliquées à elle-même, sans limite.

 Sa vie s’est organisée autour de trois grandes passions :

• la médecine
• la cause des personnes en situation de handicap sévère
• la formation / la transmission

Ses engagements ont fait d’elle :  

–        Un médecin anesthésiste réanimateur

–        Un esprit d’entreprise avec la co-fondation, avec Monsieur le Docteur Alain Pierre, son époux, de la Polyclinique d’Essey les Nancy

–        La défense des droits des personnes handicapées : Co-fondatrice de l’ALAGH et de la Maison d’Accueil Spécialisée avec le Professeur Louis PIERQUIN, aujourd’hui MAS Irène Pierre,

–        La formation et la transmission avec la création de l’Ecole d’Aides Soignantes des établissements Sanitaires privés et à but non lucratif de Nancy,

Directrice adjointe de l’école de kinésithérapie et d’ergothérapie de Nancy

Ancienne vice Présidente d’ALMA Handicap.

Membre d’honneur d’une ONG Chrétienne de Lublin en Pologne

Madame le Docteur Irène Pierre n’a eu de cesse de créer des passerelles sociales et médico-sociales entre la Lorraine et la Pologne, flambeau repris au sein de l’ALAGH.

Madame le Docteur Alexandra MEYER, sa fille, membre du Conseil d’Administration de l’ALAGH, nous a communiqué un texte de Teilhard de Chardin, pour que nous puissions nous recueillir ensemble, avec ses enfants, petits enfants, sa famille à travers cette pensée.

José SALAS

Directeur général

 

Retrouvez ci-dessous, le texte de Teilhard de Chardin